Dans son Green Survey annuel de mai 2010, dédié au thème « Les investisseurs et l’immobilier durable », Business Immo m’a interviewé sur l’immobilier « vert », les mutations en cours des professionnels et l’émergence d’une « valeur verte ».
Lire la première page de l’interview, la deuxième page, la troisième page, la quatrième page.
J’ai été interviewé en septembre 2010 par « Innov’ in the City » sur le changement important que représente l’immobilier à haute efficacité énergétique pour les professionnels. Pour voir la video, cliquer ici.
J’ai été invité par l’Inter-Jurisdictional Collaboration Committee (IRCC), organisme international de collaboration d’agences publiques sur la réglementation, dans le cadre d’un atelier ayant pour thème « International Perspectives on the Role of Building Regulation in Responding to the Challenges of Climate Change ». Dans cet atelier qui avait lieu le 20 Octobre 2010 à Boston (Massachusetts), j’ai fait un exposé consacré à la directive européenne sur l’Efficacité Energétique des Bâtiments de mai 2010 et son application en France.
Grâce au Grenelle de l’Environnement, la France qui avait appliqué avec retard la précédente directive européenne de 2002, fait désormais partie des pays européens les plus en avance sur la question.
Réalisé dans le cadre de la journée, organisée le 5 octobre 2010 par l’Usine Nouvelle et le Journal de l’Environnement, sur l’efficacité énergétique des bâtiments, cet exposé présente les deux principales catégories de labels, énergétiques (Passivhaus, Minergie, Effinergie) et environnementaux (BREEAM, LEED, HQE…).
Il décrit les relations entre labels, marché et réglementation. Il aborde la question des performances réelles des immeubles labelisés.
Réalisée dans le cadre de l’Université d’été de l’Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris, organisée du 30 août au 3 septembre 2010 sur le thème « Biens naturels et génie urbain », cette intervention rappelle qu’un immeuble n’est pas fait pour économiser l’énergie, mais qu’un « moteur » politique est en marche pour améliorer fortement la qualité énergie-environnement-santé des immeubles, neufs et existants.
Le marché suit. Les premiers « signaux prix » apparaissent aux Etats-Unis et en Suisse. La valorisation des immeubles « verts » bien localisés et d’une bonne qualité d’usage est en cours, en même temps qu’une dévalorisation des immeubles « non verts » mal localisés et d’une mauvaise qualité d’usage, dévalorisation qu’il conviendra de savoir gérer.
Présenté dans le cadre d’une conférence d’un projet européen rassemblant plusieurs pays d’Europe du Nord, l’exposé porte sur les politiques pour des bâtiments efficaces en énergie dans le contexte européen.
Le rattrapage du retard français grâce au Grenelle de l’Environnement y est évoqué.
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Dans le cadre d’une conférence, les 16-17 avril 2010 à Casablanca, dédiée à la rentabilité de l’investissement durable, j’ai fait un exposé sur la rentabilité de l’immobilier « vert ».
Après avoir exposé le pourquoi de l’immobilier « vert » et avoir donné une définition de l’immobilier « vert », la présentation prend l’exemple du premier immeuble africain certifié « NF Bâtiments Tertiaires Démarche HQE », puis prend position sur la rentabilité de l’immobilier « vert », sur la base de recherches récentes, américaines et européennes.
Sous ce titre, dans « Les Echos » du 22 mars 2010, Mathieu Quiret a écrit un article sur les performances réelles des bâtiments « verts » après plusieurs années d’exploitation.
Il a pour cela exploité trois recherches présentes dans notre blog, dans la rubrique « Coûts et rentabilité »:
Il m’a également interviewé pour connaître mon avis sur le sujet.
Les trois recherches utilisées sont:
O. Catarina et S. Illouz. Retour d’expérience de bâtiments certifiés HQE: Dynamiser l’efficacité énergétique des gestionnaires de patrimoine du secteur privé. PREBAT-ADEME-ICADE-CSTB. Décembre 2009 Newsham, G.R.; Mancini, S.; Birt, B. Do LEED-certified buildings save energy? Yes, but…Institut de Recherche en Construction du Canada; Août 2009.
J’ai coordonné avec Bruno Duplessis le livre « Economie et Développement Urbain Durable » publié en janvier 2010 aux Presses des Mines ParisTech.
Ce livre présente les travaux exposés en 2009 lors de la première réunion annuelle du réseau « Economie et Développement Urbain Durable ». Les deux thèmes traités sont les modèles économiques appliqués à la ville et le financement de l’investissement durable.
Le réseau « Economie et Développement Urbain Durable » a comme ambition de contribuer au développement de la recherche économique dans le domaine du développement urbain durable en prenant en compte les préoccupations des acteurs socio-économiques (élus, entreprises).
Ce réseau rassemble sept équipes de recherche : le Centre International de Recherche sur l’Environnement et le Développement (CIRED), le Laboratoire d’Economie de la Production et de l’Intégration Internationale (LEPII), le Laboratoire d’Economie des Transports (LET), le Laboratoire Ville, Mobilité, Transports (LVMT), l’Ecole des Mines ParisTech, le Département Economie et Sciences Humaines du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment et la Mission Climat de la Caisse des Dépôts.
Cette présentation a été faite dans le cadre du Séminaire « Habitat bas carbone et éco-quartiers: quelles perspectives pour la ville post carbone? » organisé le 12 février 2010 par le ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer.
Elle met en évidence l’importance essentielle de la rénovation énergétique du parc existant pour atteindre les objectifs 2020 du Grenelle de l’Environnement. Elle apprécie l’avance de l’Allemagne par rapport à la France sur ce sujet.